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Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

ANTHROPOLOGIE DE LA MEDITERRANEE

CORSE-PROVENCE

Consultant expert auprès de l'INAO




Auteur Nouveau




LA LAVANDE En cours de parution

LA LAVANDE

Éditons EDISUD, Saint Remy de Provence , MARS 2014, p 168.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

En longues vagues bleues, les lavandes animent et illuminent les terres sèches, rudes et caillouteuses des plaines, et des collines de l'Europe méridionale. Les lavandes furent depuis les temps les plus reculés utilisées pour leurs qualités olfactives cosmétiques et médicinales. La distillation mieux connue en Europe à partir du XVe siècle permis l'extraction de l'essence de lavande dès lors plus largement utilisée dans la parfumerie, l'industrie et la médecine. Mais c'est au XIXe siècle que la culture de la lavande connut un important essor, lorsque l'industrie de la parfumerie en plein développement eut besoin d'importantes quantités d'essence de lavande. Longtemps plantes sauvages de simple cueillette, les lavandes furent peu à peu domestiquées et depuis plus d'un siècle l'objet de soins culturaux attentifs et sophistiqués. Le développement de la mécanisation, l'amélioration des variétés anciennes et la création de nouvelles, par clonage ou hybridation, ont permis d'augmenter considérablement les productions, afin de répondre à l'importante demande européenne et mondiale en essence de lavande utilisée dans les domaines de l'aromathérapie, la parfumerie, la cosmétologie et l'hygiène. Ainsi dans un syncrétisme mêlant, plaisir des sens et bien être des corps, symbolique méridionale, et tradition, les épis bleus bénéfiques et parfumés nous renvoient à une Provence estivale, ensoleillée, immuable, et idyllique.

LE CHÂTAIGNIER

Éditons Le Gerfaut, Paris 2012, p 183.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

http://www.editionsdugerfaut.com/


Le châtaignier est originaire d’Europe occidentale. Sa culture, développée grâce aux techniques venues du Proche Orient via la Grèce et l’Italie, est le résultat d’un long processus historique de transformation botanique et écologique, inséparable des mouvements sociaux et des politiques qui s’y rattachent. La promotion massive du châtaignier s’amorce à partir du XV° siècle et se poursuit de façon inégale jusqu’à la fin du XVIII° siècle.
Il fut grâce à son bois, ses feuilles et ses fruits, plusieurs siècles durant, la providence de nombreuses terres pauvres et siliceuses… Remplaçant dans les régions montagnardes en partie ou en
totalité les céréales, il a transformé peu à peu les habitudes alimentaires, et déterminé des genres de vie particuliers, des systèmes de représentations, de croyances et de symboles, ce que d’aucuns ont dénommé « la civilisation du châtaignier ». Par la suite, divers facteurs, révolution agricole, et industrielle, désertifications des campagnes, maladies des arbres, abattages pour le bois ou les extraits tannants… participèrent à son déclin.
Depuis quelques années le châtaignier connait un regain d’intérêt.
Après une période d’abandon le châtaignier connait un renouveau lié à la découverte des nouvelles qualités gastronomiques et diététiques de la châtaigne et à l’intérêt patrimonial et touristique des paysages de châtaigneraies…

LES ORATOIRES DU CENTRE ANCIEN D’AIX-EN-PROVENCE

Éditons ARPA- EDISUD, Aix en Provence 2011, p 79.

Textes (Recherche et Rédaction) : Félicienne RICCIARDI

Préface : Pierre DUSSOL Président de l’ARPA

Avec la participation de : M Haxaire, N Jannodet, C Pellegrino, S Cauvin, D Pupier, M Bernard, P Chenevas, A Gautier, P Vanhee, P Vanhalst.

Nombreuses photos.

Cet ouvrage tente de décrire et de mettre en valeur près de cent oratoires que compte la ville ancienne d’Aix-en-Provence. Lieux de dévotion dédiés au Christ, à la Vierge ou aux saints, les oratoires ornent les angles des rues ou les façades des maisons et nous plongent dans l’histoire d’Aix, l’ancienne capitale de la Provence. La création des oratoires s’étend sur une vaste période allant du Haut-Moyen-Âge au XIX° siècle. Ils se multiplient durant l’âge baroque et font partie intégrante de l’architecture du XVII° siècle. Ils protégeaient et sacralisaient la ville marquant les passages, les limites, les carrefours ou les portes de la cité. Ils témoignent des différentes époques de l’architecture et de l’art aixois. Ils nous renseignent sur l’histoire de la ville, la ferveur religieuse, les préoccupations, les craintes et les espoirs du peuple d’Aix au fil du temps.

LA ROUTE DE l’OLIVIER EN VALLEE DE L’HERAULT

Éditons Etudes et Communications, Le Vigan, 1998, p 96.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

L’oléiculture languedocienne plonge ses racines dans la Préhistoire, l’Antiquité grecque et romaine. Elle eut un développement particulièrement important dans l’Hérault autour de Clermont-l’Hérault.

Cependant dans les années 1956 s’est amorcé un mouvement de renaissance de l’oléiculture héraultaise. Le triangle compris entre Lodève, Clermont l’Hérault et Aniane est particulièrement actif, il compte diverses huileries : la Coopérative de Clermont-l’Hérault, le Moulin de la Garrigue… ainsi que des confiseries d’olive réputées. La culture de l’olivier en expansion aux XVI° et XVII° siècles, connut ensuite jusqu’au gel de 1956, un déclin continu.

L’auteur Félicienne RICCIARDI-BARTOLI traite dans cet ouvrage, richement illustré, l’histoire de cette oléiculture depuis ses origines à aujourd’hui, elle rapporte différentes recettes languedociennes de cuisine à l’huile d’olive, ainsi que des de préparations traditionnelles olives vertes ou noires. Elle traite du renouveau de l’oléiculture de la remise en état et du développement des oliveraies, de l’amélioration de la qualité et de la médiatisation des olives et des huiles.

L’olivier, porteur d’identité, de tradition et de renouveau économique poursuit son essor en terres d’Hérault.



MES RECETTES CORSES

Éditons BONNETON, Paris 2006, p 160.

http://www.editions-bonneton.com/album/corse.html

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

Ce livre de recettes corses traditionnelles, est issu d’un large travail d’enquêtes ethnographiques. C’est après avoir découvert dans des archives familiales des cahiers et de simples feuillets calligraphiés avec soin, souvent tâchés ou froissés, recouverts de recettes accompagnées souvent de notes donnant des informations précises, pratiques , fantaisistes, parfois cocasses sur les préparations mais aussi sur les moments de la vie qu’elles accompagnent (mets saisonniers, symboliques ou fêtes annuelles ou familiales) qu’a débuté mon intérêt pour la cuisine corse traditionnelle. Mes recherches anthropologiques menées plus tard dans différentes régions de Corse m’ont permis de compléter ma connaissance de cette cuisine traditionnelle, en recueillant auprès de femmes ou d’hommes le plus souvent âgés, des recettes quelques fois oubliées.

Les 150 recettes sont présentées dans cet ouvrage par ordre alphabétique, groupées en 5 paragraphes :

· Entrées et soupes

· Légumes et accompagnements

· Viandes et poissons

· Fromages t dessert

· Boisson et conserves

· Un Index des recettes rend une recherche ponctuelle plus aisée.

L’OLIVIER EN CORSE

Éditons DCL Ajaccio 2004, p 195.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

L’olivier est présent en Corse depuis les temps les plus reculés, des vestiges attestent sa présence au V° millénaire de notre ère. C’est à partir du moyen âge qu’il prend une certaine importance et commence à jouer un rôle dans la production, bien qu’il ne fasse nulle part l’objet d’une monoculture. Sa culture fortement encouragée par les maîtres successifs de l’île se développa de manière inégale et ne connut de véritable essor qu’au XIX° siècle. L’huile était utilisée dans l’alimentation, la pharmacopée, les soins du corps, elle avait en outre des usages domestiques, magiques ou religieux.

Les textes de cet ouvrage sont accompagnés de nombreuses illustrations, d’un lexique et des recettes.

CUISINE CORSE DE A à Z

Éditons BONNETON, Paris, 2001, p 160.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

Quatrième de couverture :

Une ou des cuisines corses ? Jusqu’à la fin du XIX° siècle, et même au-delà, les régimes alimentaires variaient selon les régions et les classes sociales. Le choix des farines (froment, maïs, millet, orge, seigle, châtaignes) ou des légumes secs (haricots, pois chiches, fèves, lupins) était imposé par les conditions climatiques, la nature du sol ou les moyens financiers de chacun. Quand et comment parvient-on à l’idée d’une cuisine régionale typique ? Quand et comment passe-t-on au mythe de la cuisine corse ?

Les grands changements alimentaires se produisent à partir des années cinquante : la viande, les pâtes, la farine, le blé, le sucre, le café, l’huile, le vin deviennent plus accessibles à de vastes couches de la population.
Les gouts évoluent, les fromages forts sont moins appréciés, certaines herbes sauvages trop amères sont délaissées. Les modes de cuisson modernes changent les habitudes culinaires. Les plats emblématiques (pulenda, brocciu, rivia, trippa piena) n’occupent la même place dans le système alimentaire hormis au cours des fêtes familiales.

La cuisine corse ancrée dans le passé, se pense, se crée ou se recrée. La tradition qui n’est plus synonyme d’immuabilité devient porteuse d’innovation et de continuité.

Les 150 recettes réunies dans ce dictionnaire sont prétexte à une approche nouvelle de la cuisine corse et une véritable invitation à mieux connaître l’île , sa diversité, ses traditions quotidiennes ou festives.

Félicienne RICCIARDI-BARTOLI, ethnologue, chercheur enseignant est membre du Centre d’Etudes corses de l’Université de Provence et du Laboratoire d’Ethnologie Méditerranéenne et Comparative.

CUISINE ET ALIMENTATION

CAHIER D’ETHNOLOGIE CORSE.

Éditons du CRDP de Corse, Ajaccio 1992, p 134.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

Centre d’études corses de l’Université de Provence

Laboratoire d’Ethnologie Méditerranéenne et Comparative URA 1346 du CNRS

http://www.cndp.fr/crdp-corse

Ouvrage publié avec le concours de l’Assemblée de Corse et la Direction Régionale des Affaires Culturelles

La satisfaction du besoin alimentaire est un domaine d’une grande complexité. Les comportements y dépendent autant de représentations culturelles propres ç chaque société, que des contraintes du milieu naturel. Privilégier ou interdire le recours à certaines nourritures pourtant disponibles obéit à tout un ensemble de tabous et de préférences organisés en système complexe. On mange autant pour communique que pour se nourrir. Au-delà de fonction biologique, l’alimentation humaine comporte une dimension imaginaire symbolique et sociale.

Afin de comprendre et d’analyser ce que sont Cuisine et Alimentation en Corse, l’auteur Félicienne RICCIARDI-BARTOLI, s’est appuyé sur des documents oraux et écrits qui ont permis d’étaler la recherche sur une période allant de la deuxième moitié du XIX° siècle à aujourd’hui, les phénomènes actuels nous devenant compréhensibles avec l’éclairage du passé. L’enquête orale a été faite auprès d’hommes et de femmes de toutes générations, en privilégiant les personnes ayant connu les premières années du XX° siècle. La recherche a été étayées par des documents d’archives tels que : l’enquête Communale de l’An X, l’enquête sur l’alimentation de 1893, la monographie d’une famille de Porchers-bergers dressée en 1869 par Maximilien Bigot, les recherches historiques et statistiques établies en 1835 par Félix Robiquet et les notes que nous ont laissés les voyageurs du XVIII° et XIX° siècles.

La cuisine ce fil conducteur peut nous permettre de saisir la société corse dans sa diversité et sa globalité, car elle est un langage dans lequel chaque société « traduit inconsciemment sa structure, à moins que sans le savoir davantage, elle ne se résigne à y dévoiler ses contradictions » (C. Lévi-Strauss.)

Cet ouvrage comporte en outre de nombreuses illustrations, des recettes, un lexique relatif aux termes culinaires et un questionnaire ethnographique, guide d’enquête.

FILM

PATISSERIES EN CORSE

Film anthropologique conçu et réalisé pour le Musée anthropologique de la Corse, Corte 1995.

Auteur : Félicienne RICCIARDI-BARTOLI

La réalisatrice Félicienne RICCIARDI-BARTOLI s’est attachée à travers ce film à présenter la diversité des pâtisseries traditionnelles des différentes régions de Corse, au rythme des saisons, des fêtes annuelles, religieuses ou familiales.

Les diverses préparations : Caccavelli de Pâques, frappe, fritelli incu brocciu, biscuteddi du sartenais, sciacce de Sollacaro, Salviate de Bastia, pane di i morti, fritelli castanini, nicci de la Castagniccia …. ont été réalisées auprès de pâtissiers ou de simples maîtresses de maison.


OUVRAGES COLLECTIFS : ARTICLES/RAPPORTS/CHRONIQUES/FILMS

1991 Cuisine et alimentation, in Le guide de la Corse, éditions de la Manufacture, Besançon.

1991 Per un pate ne bramà : garder, engranger, conserver. Réserves et conservations dans la Corse rurale, une approche ethnologique, in Bulletin de l’ADECEM n° 8, Université de Provence.

1993 L’immigration corse d’Aix en Provence, in Strade, n°1, Université de Provence.

1994 Famille et émigration « Quelli di l’abate » in Etudes corses, n° 43, ASCH-La Marge, Bastia.

1994 Il faut être gourmand, Film anthropologique, IMEREC, Institut de Recherche et de création, Marseille.

1995 Chez le Grec, Film anthropologique, IMEREC, Institut de Recherche et de création, Marseille.

1995 Au travers des gestes et des mots, Les usages alimentaires en Corse, in Etudes corses n°45, ASCH-La Marge, Ajaccio.

1995 Extraordinaires saveurs de fête, in Corse un peuple entre mer et montagne, Méditerranée Magazine.

1996 La géographie agricole de la Corse entre tradition et modernité, in Inventaire du Patrimoine Culinaire de la France, Corse, Albin Michel, Paris.

1997 Relance de l’oléiculture, IDEMEC CNRS/Université de Provence, Rapport pour la Mission du Patrimoine ethnologique. Ministère de la culture, p 157.

1998 Alimentation et Ascèse chrétienne en Corse, in Etudes corses, n°51, ASCH-La Marge, Ajaccio,

1998-2000 Chronique ethnologique : Boire et manger dans la corse rurale, n°55, 56, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65 in U Taravu, Zevacu.

1999 A quadragesima, Le grand Carême, ou comment l’alternance du gras-maigre régit en Corse la nourriture chrétienne, in U Taravu n°64, Zevacu.

1999 Huiles et olives de l’Hérault, in Le Courrier de la Guilde des Terroirs, Faculté J Monnet, Sceaux.

1999 Cultures régionales : Aix et le Pays d’Aix, IDEMEC CNRS/Université de Provence. Rapport pour la Mission du Patrimoine ethnologique. Ministère de la culture. 157 p.

2000 Noël en Corse, in U Taravu n°73, Zevacu.

2000 Carnavale, in U Taravu n° 74, Zevacu.

2000 Des origines du châtaignier, in U Taravu n° 75, 76, Zevacu.

2000 Chronique ethnologique : Les premières châtaigneraies corses, in U Taravu n° 77, 78, 79, 80, 81, 82, 83, 84,85, 86, Zevacu.

2001 L’erbiglie. Les herbes sauvages, herbes du renouveau, herbes de disette, herbes amères et purificatrices. In A ferula, Le Journal de la Corse n°4, Ajaccio.

2001 Le Brocciu, du mythe à l’AOC, les chemins de la gastronomie corse, in A ferula, Le Journal de la Corse, n°5, Ajaccio.

2001 U sulleone « le monde brûlé » Mazzeri, Murtuloni et Ludareddu, in A ferula, Le Journal de la Corse, n°6, Ajaccio.

2001 A frutta. Fruits festifs, fruits bénéfiques, fruits magiques. In A ferula N°8, Ajaccio. 2001 Carni e sangui natalecci. Pour célébrer le soleil renaissant et l’avènement du Sauveur., in A ferula, Le Journal de la Corse n°9.

2001 Ce que disent et ce que cachent les feux de la Saint Jean, in La ferula, Le Journal de la Corse n°9, Ajaccio.

2002 Fritedde, fritelle, à propos de beignets, une tentative d’analyse anthropologique in Etudes corses, ASCH, Bastia, n°54.

2002 Da Natale a A Pifania, le cycle des douze jours, in A ferula, Le Journal de la Corse n° 10.Ajaccio.

2002 Noël réinventé, in A ferula, Le Journal de la Corse n° 11, Ajaccio

2002 Lumaca o lumaco, l’escargot une étrange créature, in A ferula, Le Journal de la Corse n°14 Ajaccio.

2002 Fèves, favisme et malaria, in A ferula, Le Journal de la Corse, n°15, Ajaccio.

2002 La Figue : Fica, Ficu, Ficone, in A ferula, Le Journal de la Corse n°18, Ajaccio.

2002 Céréales d’autrefois, in A ferula, Le Journal de la Corse n°19, Ajaccio.

2002 Père Noël, enfance et charité, in A ferula, Le Journal de la Corse n° 20, Ajaccio.

2002 Oliu d’aliva, oliu bellu, oliu d’Oru. Entre renouveau et identité. in A ferula, Le Journal de la Corse n°19, Ajaccio.

2002 Origine et essor de la châtaigneraie corse, in A fiera di a castagna, Le temps de l’échange, Albiana, Ajaccio.

2003 Le vin et la Saint Martin, in Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2003 Demande de reconnaissance en AOC « Huile d’olive de Corse – Oliu di Corsica. » (participation), INAO, Corse.

2003 Les huiles corses. Des huiles de terroir, au fruité noir, sans ardence ni amertume. In A ferula, Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2003 I funghi. Mets délicieux, remèdes ou poisons violents, in A ferula, Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2003 L’Orange, Aranciu, portugallu ou citronu, in A ferula, le Journal de la Corse, Ajaccio.

2003 A salvia, l’erba ritta, in A ferula, Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2004 L’alimentation et la cuisine, XIX°-XX° siècles, in Atlas ethno historique de la Corse 1770-2003, éditions du CTHS, Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, et de la MMSH, Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme.

2004 Des beignets pour Carême, interdits pour certains, mets rituels pour d’autres, porteurs de sens et de spiritualité. In A ferula, le Journal de la Corse, Ajaccio.

2004 Sous le signe du poisson. Symbole chrétien, aliment eucharistique et …poisson d’Avril. In A ferula, le Journal de la Corse, Ajaccio.

2004 Mai : mois des amours, mois de la Vierge, Un mois au sens ambigu, in A ferula, Le Journal de la Corse n° 20, Ajaccio.

2004 Erbe di San Ghjuvanni, Herbes solaires, herbes lunaires, in A ferula, Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2004 Les œufs de Pâques, 2005 in A ferula, Le Journal de la Corse n° 24, Ajaccio.

2004 U gallu : le coq annonciateur, carnavalesque et …gaulois, in A ferula, Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2004 Oliu di Corsica AOC, Produits de terroir et Normes européennes. In Le Journal de la Corse, Ajaccio.

2005 Compte rendu : Portrait de Charles Bonaparte par D Carrington. in Etudes corses, ASCH-Albiana, N°61

2006 Demande de reconnaissance en AOC « Olives de Nîmes », (participation), INAO Montpellier.

2006 Demande de reconnaissance en AOC «Huile d’olive de Nîmes » (participation), INAO Montpellier

2006 Demande de reconnaissance en AOC, « Farine de châtaigne corse – Farina castagnina corsa », (participation), INAO, Corse.

2006 Demande en reconnaissance en AOC Languedoc- Pic Saint-Loup, vin rouge et rosé, (participation), INAO Montpellier.

2010 Demande en reconnaissance en AOP, Jambon sec de Corse-Prisuttu di Corsica –Coppa de Corse – Coppa di Corsica, Lonzu de Corse – Lonzu di Corsica. (participation), INAO, Corse.

2010 Les origines mystérieuses du Calisson d’Aix, suite101fr.

2010 Châtaigniers et châtaignes : symboles et croyances, in Etudes corses, ASCH-Albiana, Bastia n°72.

2011 Hotel de Caumont, in bulletin de l'Association de Restauration du Patrimoine du Pays d'Aix (ARPA) n° 64 Aix en Provence

2011 Ludareddu, in Strade, n°18, ADECEM-Albiana, Ajaccio.

2011 Demande en reconnaissance en AOP (en cours) « Huile d’olive du Languedoc », (participation), INAO Montpellier.

2011 Demande en reconnaissance en AOP (en cours) « Lucques du Languedoc », (participation), INAO, Montpellier.

2012 Demande en reconnaissance IGP (en cours) « Miel des Cévennes », (participation), INAO, Montpellier.

2012 Compte rendu : La Saint Napoléon, quand le 14 juillet se fêtait le 15 août, par Sudhir Hazarersingh , in Etudes corses, ASCH-Albiana, Bastia, n°

2012 Dossier de demande de reconnaissance en AOP du fromage « Bastelicaccia », Syndicat de promotion du fromage Bastelicaccia, Bastelicaccia.

2012 Collaboration à « Produits corses, Inventaire du patrimoine gustatif », Collectivité territoriale de Corse, Bastia.

CUISINE CORSE : traditions et recettes, Chronique depuis 2000, http://www.gietaravu.com.

2014 Ethnologie de la Provence, collectif : Traditions, sous la direction du professeur PARK Song-Yong, Department of Anthropology Yeungnam University Korea, Cambridge University UK